Nami

Notes sur l’air de NAMI

Installations/voiles/collages/peinture/photos de KRISTINA VIERA WOLF en collaboration avec KLARA YASMIN WOLF

Namiprojekt: Nami auf japanisch heißt Welle und im übertragenen Sinn Gesichtsfalte, Runzel, die mit dem Älterwerden auf der Hautoberfläche erscheint so wie Wellen auf dem Wasser.

2013
Nami voiles avec pagode au fond

NAMI – vague en japonais et au sens figuré ride, qui apparait sur le visage avec l’âge comme une onde sur la surface de l’eau.

L’ eau est l’élément qui m’accompagne toute ma vie, grandie sur le bord du Danube, 13 ans sur la place des poissons numero 9 – rybné námestie – à Bratislava, après entre Vienne et Paris, le Danube et la Seine, en passant par la mer, le plus souvent possible.Vagues et spirales, le flux participant de ma création.

Lors de mes expositions/installations sur le bâteau historique Frédéric Mistral sur le Danube à Vienne dans le cadre des ateliers ouverts organisé par le Q 202 depuis 2009 j’ai choisi NAMI comme thème principale

Auf diesen Fund bin ich durch die Installation „midnightsea“ 2007 , von der japanischen Künstlerin Tabaimo, gestoßen und habe 2009 das Projekt Nami auf dem Donauschiff Frédéric Mistral im Rahmen vom Atelierrundgangs Q202 ins Leben gerufen.  Das historische Schiff Frédéric Mistral von Kapitän Franz Scheriau schaukelt auf den Wellen der Donau unweit der budhistischen Pagode.

 Das Namiprojekt bestehend aus ursprünglich für das Schiff konzipierten Installationen, Fahnen in Zusammenarbeit mit meiner Tochter Klara Yasmin Wolf, gewissermaßen ein transgeneratiolles « Runzelprojekt » wurde auch 2011 in der Galerie Art’ et Miss, in Paris gezeigt, im Wasserturm in Wien, in der Café – Galerie « Velryba » Walfisch in Prag 2017 und hat im selben Jahr den Sprung über den großen Teich nach Buenos Aires geschafft.

https://www.youtube.com/watch?v=3LIPGfY9FCY&t=29s

La rencontre avec „NAMI „ s’est faite à la fondation Cartier à Paris en 2007 dans l’installation „midnight sea“ de l’artiste japonaise TABAIMO. Elle a exercé une fascination profonde sur moi et le désir de composer avec s’est concretisé lors de mon exposition sur le bateau Frédéric Mistral au voisinage d’une pagode japonaise . Tabaimo dit à propos de son installation:“The ancient tradition of a connection between the human body and water is deeply imbedded in my consciousness“

Pour moi il s’agit d’une approche poètique, tentative de réflexion et valorisation, désamorçage de l’impact négatif, variations et jeux sur le thème de l’eau et de l’âge, du vieillissement des femmes et autres humains, retrouver le flux de l’élément naturel.

Es ist ein poetischer Zugang zum dem Phänomen der Runzel, des Älterwerdens, eine Auseinandersetzung, ein Versuch das Altern der Haut, der Frauen, der Menschen zu entschärfen, zu „verwässern“, zu erweitern zu einem Naturphänomen, das es auch ist, ins Fließen und in die Akzeptanz zu bringen.

Il y avait aussi nami-da = larme en japonais, qui est venue s’ajouter comme thème suite à la catastrophe nucléaire et le tsunami de 2011 à Fukushima au Japon.

Et en 2017 notre installation NAMI est partie avec nous à Prague dans l’espace d’exposition appellé „Velryba“ baleine – dans le ventre de la baleine – ainsi qu’à Buenos Aires à l’air libre pour danser le tango.

En 2018 nami a pris un aspect plus terrien – arrugas de la tierra – les rides sur les mains de « babicka » grand-mère.

Dieses Jahr ist die Erde – tierra – über Argentinien mit den « arrugas » Falten der Hand von « babicka » Großmutter, Generationen, Elemente, Kontinente erweiternd dazugekommen,sowie Olivenbäume, hauptsächlich Aquarelle, mit ihrer Körperlichkeit, der sehnigen, knorrigen Widerstandskraft.

nami mosaique
Nami mosaique à partir de photos de Klara Yasmin Wolf

 

flaschenpostdonaubrot
bouteille à la mer/Danube

 

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Dans le ventre de la baleine « Veleryba » Prague 2017

Et avant Prague Buenos Aires 2017

2014 Namiprojekt im Wasserturm